Un parcours tout doux, tout rigolo, pour découvrir ces 5 sens ! Entre jeux, sons, odeurs et surprises, votre tribu explore un monde sensible et sensationnel. Un moment joyeux pour apprendre en s’amusant… avec les yeux, les mains, le nez, les oreilles et même la langue !
Savez-vous que la plaine du Forez abrite une diversité importante d’oiseaux d’eau hivernants ? Certains plans d’eau issus des anciennes gravières des bords de Loire offrent un habitat idéal pour les espèces venant d’Europe du Nord après leur saison de reproduction. Au cours de cette balade, vous pourrez identifier les principaux oiseaux d’eau et mieux connaître leur régime alimentaire et leur mode de migration. N’hésitez plus et bravez les frimas du début d’hiver. Rejoignez-nous pour participer à plusieurs petits jeux et temps d’observation.
Une animation réalisée par : la Département de la Loire
Tout public à partir de 6 ans.
Prévoir une collation légère, de l'eau et une tenue adaptée à l’hiver.
La salle des armes du XVIIIe siècle est l'occasion pour les enfants de suivre un parcours de petits jeux les entraînant du pistolet
du mousquetaire au sabre de la marine.
Ouvrez grands vos yeux, tendez
l’oreille et saisissez votre crayon
pour illustrer un conte au rythme
des quatre saisons : le jardin
au printemps, les souvenirs de
vacances l’été, les frissons en
automne et l’esprit de Noël en
hiver !
Au commencement, il y a eu une étincelle…
Ateliers tricot-crochet avec Bernadette ! Et en plus avec un goûter à prix libre.
Le Porteur d’Histoire est un roman, un film, un conte, une légende, un feuilleton littéraire haletant à la Dumas, qui nous entraîne dans une quête effrénée, un périple à travers le temps.
Les enfants ont un pouvoir : le pouvoir des sens ! Un atelier pour découvrir son corps en nourrissant et développant ses sens. Le p’tit Café propose aux parents et aux enfants d’expérimenter et de vivre leurs sens : le toucher, l’ouïe, la vue, l’odorat, le goût, la proprioception, la thermoception, etc. Sans inscription, prix libre.
Michelle, un selfie à Auschwitz, maladresse innocente ou manque de respect ?